De l’idée à la vente : les premiers pas pour lancer son service en ligne
Elle savait ce qu’elle voulait. Il lui manquait juste la méthode.
Hello 👋
Khadija n’en était pas à son premier projet.
Entrepreneure depuis plus de dix ans, elle avait monté plusieurs boutiques, évolué dans l’événementiel haut de gamme, structuré des univers complets pour une clientèle exigeante. Elle savait ce qu'était le terrain, le vrai.
Mais digitaliser son offre, clarifier son positionnement en ligne, s’adresser à une cible premium de façon alignée ?
C’était un autre jeu. Et elle savait qu’elle ne voulait plus perdre de temps à avancer seule.
🎥 L’épisode à emporter
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1. Une posture d’experte… à structurer en ligne
“J’avais de vrais résultats, de vraies compétences. Je faisais déjà du conseil stratégique. Mais le digital, c’était une autre dynamique.”
Ce que Khadija apportait à ses clientes n’était pas flou : montée en gamme, développement à l’international, positionnement luxe…
Mais sans structure, sans cadre, sans accompagnement, elle stagnait sur la mise en forme de cette valeur en ligne.
Ce n’est pas le savoir-faire qui bloque. C’est la mise en récit.
Et c’est là que beaucoup d’expertes restent coincées.
2. Ce qui a changé : clarté, test, action
“J’ai choisi un accompagnement parce que j’avais besoin de passer à l’action tout de suite. Pas de validation, pas d’attente. On clarifie, on vend, on ajuste.”
C’est ce processus simple, direct et orienté test qui a été le déclic.
Pas besoin de tout finaliser.
Il faut une offre claire, même imparfaite, un message simple, et une première action.
La perfection n’est pas un prérequis.
La mise en mouvement, si.
3. Se positionner premium, ça s’apprend
“Je voulais vendre une offre haut de gamme. Mais je ne savais pas comment l’annoncer, comment en parler, ni comment la vendre sur les réseaux.”
Khadija a travaillé en parallèle sur ses compétences métier — mais ce qui a fait la différence, c’est la posture commerciale.
Savoir vendre sans dévaloriser, prendre la parole avec assurance, formuler une promesse claire, sans tomber dans le jargon.
Un bon positionnement, c’est 50 % de stratégie, 50 % d’alignement.
4. L’impact en 3 mois
“Je suis vite arrivée à l’objectif : 10 000 euros générés, avec des vrais retours clients.”
Mais au-delà du chiffre (qu’elle n’a même pas mis en avant tout de suite), c’est surtout le temps gagné qui compte :
– Moins de doute
– Moins d’errance mentale
– Plus d’ancrage, de structure, de clarté
Elle ne rêve plus son activité. Elle l’incarne.
5. Pour qui c’est (et pour qui ça ne l’est pas)
“Je recommanderais ce type d’accompagnement à celles qui savent ce qu’elles veulent, mais qui ne veulent plus attendre.”
Khadija n’a pas rejoint la Digital Académie pour “voir ce que ça donne”.
Elle est venue pour exécuter.
Et c’est pour ce profil que l’accompagnement fonctionne :
→ Tu sais où tu veux aller.
→ Tu as besoin de méthode, de structure, de clarté.
→ Tu veux passer de la vision à la vente.
6. La vraie perte, c’est le temps
“L’investissement ? Il est vite amorti. La vraie question, c’est : tu fais quoi si tu n’investis pas ? Tu continues à perdre du temps.”
Ce qu’elle dit est simple, mais lucide.
La dispersion, les mois à “réfléchir”, les essais dans le vide, coûtent plus cher que l’accompagnement.
Conclusion : Ce qui compte, c’est d’avancer
Tu peux avoir toutes les idées du monde.
Mais tant qu’elles ne sont pas testées, vendues, confrontées, elles n’existent pas.
Khadija a arrêté de tourner autour.
Elle a structuré. Elle a vendu. Elle a livré.
Et aujourd’hui, elle avance — avec un business digital aligné avec son niveau d’exigence.
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