Comment j'ai démissionné de mon CDI bien payé pour lancer mon entreprise sans investisseur
Mon ancienne vie dans les boîtes du CAC 40 (et pourquoi j’en suis partie)
Hello 👋
On croit souvent que réussir, c’est avoir un CDI dans une grande boîte.
Un bon salaire, une carte de visite sérieuse, un bureau en open space avec vue sur la Défense.
J’ai eu tout ça.
Et pourtant, je n’étais pas épanouie.
Je suis partie. Pas sur un coup de tête.
Pas par caprice.
Mais parce que j’ai compris un truc fondamental :
👉 Bien gagner sa vie, c’est pas la même chose que vivre sa vie.
🎥 L’épisode à emporter
• À écouter ou à regarder là 👇
🎓 La voie royale : 5 ans d’études pour cocher toutes les cases
Comme beaucoup, j’ai fait ce qu’on attendait de moi.
→ Un master,
→ Un stage dans une grosse boîte,
→ Puis un CDI dans le consulting.
Premier poste : 2200 euros net.
Bien mais pas exceptionnel pour 5 ans d’études.
Mais j’étais en CDI à la Défense, et c’est ce qui comptait à l’époque.
Alors j’ai gravi les échelons.
J’ai changé de boîte pour augmenter mon salaire.
J’ai fini dans une entreprise qui me faisait rêver depuis l’école.
Et sur le papier ?
J’étais bien installée.
Dans la réalité ? Je n’étais pas spécialement épanouie.
🌀 Derrière le salaire : la fatigue, le stress et les doutes
Mon quotidien, c’était ça :
→ Manager 70 personnes à même pas 30 ans
→ Des réunions interminables avec des directeurs de secteur
→ Des slides à minuit, des tableaux Excel qui faisaient planter mon ordi
→ 1h30 de trajet aller-retour.
→ Et le sentiment constant de devoir prouver que j’avais ma place
J’avais beau gagner très bien ma vie…
Je passais mon temps à courir, à douter, à bosser.
Et pendant mes pauses déjeuner ?
Je bossais sur mon blog.
Parce qu’au fond, j’avais déjà un pied ailleurs.
✨ Le déclic : tester une autre manière de travailler
Mon blog, à la base, c’était un side project.
Un petit truc pour le plaisir.
Mais très vite, il a généré des revenus.
Au point de dépasser mon salaire salarié.
C’est là que tout s’est joué.
Je pouvais rester dans ma “zone de confort”.
Ou tout plaquer pour créer une activité qui me ressemble.
🧨 Spoiler : j’ai tout plaqué.
🛫 Quitter le salariat : entre peur du vide et vraie liberté
Je n’avais pas le chômage.
Pas d’investisseur.
Juste des économies, du stress… et une envie énorme d’être libre.
J’ai sauté.
J’avais 25 ou 26 ans.
Et surtout, zéro certitude.
Aujourd’hui, c’est facile de dire “j’ai bien fait”.
Mais sur le moment, c’était flippant.
📣 Ce que je fais aujourd’hui (et pourquoi ça me fait vibrer)
Aujourd’hui, j’aide les entrepreneurs à être visibles en ligne.
Mais pas pour faire les clowns sur TikTok.
Pour attirer les bons clients.
Pour vendre sans s’épuiser.
Pour créer un business qui tient sur la durée.
Je bosse avec des gens qu’on n’attend pas forcément sur Insta :
→ Une boulangère au levain
→ Une œnologue
→ Un coiffeur
→ Des avocats
Et tu sais quoi ?
Quand tu maîtrises la communication, tout le monde peut réussir en ligne.
Pas besoin d’être une star.
Juste besoin d’être clair, stratégique… et de ne pas avoir peur d’être visible.
💥 Ce que j’ai compris (et que personne ne t’apprend à l’école)
Le salariat n’est pas toujours sécurisant.
C’est juste ce qu’on connaît.Être bien payé ne veut pas dire être bien.
J’étais épuisée, stressée, sous pression constante.La vraie liberté, c’est d’être à la bonne place.
Et pour ça, il faut oser s’écouter… et parfois désobéir.
🙌 Et toi ?
Si tu sens que tu tournes en rond, que tu donnes tout sans kiffer…
Sache que tu peux créer autre chose.
Tu peux switcher.
Tu peux apprendre à communiquer, à vendre, à créer du contenu qui attire vraiment.
C’est pas de la magie.
C’est une compétence.
Et elle est à ta portée.
✍️ Tu veux que je t’aide à devenir plus visible ?
Savoir comment être autonome au niveau de tes revenus?
Attirer des clients et des deals sans aller à des diners parisiens, compter sur ton réseau ou faire des risettes à Jean Jacques le relou ?
C’est possible.
En développant (intelligemment) ton activité en ligne, pour attirer des clients chaque semaine, devenir plus visible et faire grandir ton business.
On peut en discuter de vive voix, c’est plus sympa (c’est par ici)